5f711efcaf721ed5485e8296
Retour

Premier essai de la Jaguar F-Type 2021 : plus civilisée ET brutale

Auteur: Dan-HeymanPublié le:  2020-02-10
Premier essai de la Jaguar F-Type 2021 : plus civilisée ET brutale Premier essai de la Jaguar F-Type 2021 : plus civilisée ET brutale

Lisbonne, Portugal - Pour l’année 2021, la Jaguar F-Type hérite d’un petit rafraîchissement stylistique alors que de nouvelles finitions intérieures font leurs débuts. D’autres petits ajustements font en sorte qu’on se retrouve avec une gamme réalignée. Nous nous sommes rendus au Portugal pour la mettre à l’épreuve sur les merveilleuses routes montagneuses et sinueuses qui sillonnent l’intérieur du pays entre Porto, au nord, et Lisbonne, plus au sud.

Parmi les modifications apportées à l’offre, la plus importante est le fait que le V8 de la version R (coupé : 119 000 dollars, cabriolet : 121 500 dollars) développe désormais 575 chevaux, soit la même puissance que la variante SVR de l’année dernière. Le modèle P300 à moteur 4-cylindres propose toujours 295 chevaux (coupé : 73 000 $, cabriolet : 76 000 $) et il existe également une déclinaison à bloc V6 suralimenté (coupé : 95 500 $, cabriolet : 98 500 $) qui avance 375 chevaux. Pour ce test, nous avons examiné les deux extrémités de la gamme ; la P300 convertible à mécanique 4-cylindres turbo et le coupé R.

Mais tout d’abord, le style.

Les ajouts sont assez apparents et comprennent des phares plus étroits et plus larges, ainsi qu’un becquet avant plus large qui rejoint les extrémités. Le capot semble également plus large, mais il est toujours long — selon le concepteur en chef de Jaguar, Julian Thompson, les longs capots dénotent la puissance, car à l’époque des chevaux et des voitures, il fallait plus de chevaux pour plus de puissance.

Le profil est complété par de nouvelles jantes, tandis que l’arrière, à part quelques petits ajustements, revient inchangé. C’est une bonne chose, car la F-Type, en configuration coupée ou cabriolet, a toujours été très belle vue de l’arrière. Des feux très étroits (tous les modèles) au superbe échappement quadruple des versions V8, on a droit à un bon mélange entre le présent et le passé qui trouve ses racines dans la Type E des années 60 qu’Enzo Ferrari lui-même a qualité de « plus belle du monde ».

Lire plus

Spécifications techniques